Voici le texte à traiter :
Et non, ce n’est pas une blague, même si nous sommes le 1er avril. Découvrez la bande-annonce ci-dessus et les premières captures d’écran dans la galerie ci-dessous.
Duckside propose de l’artisanat, la construction de bases, du JcJ, du JcE et, puisque vous êtes un canard, il est possible de voler. Les commandes de vol de précision vous permettent de manœuvrer dans les airs aussi bien en combat qu’en éclaireur.
Vous pourrez également améliorer vos armes (oui, des flingues) ainsi que vos bases pour vous défendre contre les raids ennemis sur des serveurs pouvant accueillir jusqu’à 50 joueurs volatiles. Comme l’expliquent les développeurs avec une pointe d’humour, “Duckside n’est pas seulement une question de survie, c’est aussi une question d’entrer dans la tête d’un canard.
Être un canard. Sentir l’acier froid d’une mitrailleuse sur vos plumes.
Et la tranquillité d’esprit que procure le fait de s’installer, après une longue journée, dans une maison que l’on a construite avec les ordures que l’on a pillées sur le cadavre d’un autre. Êtes-vous une poule mouillée ?
Non, vous êtes un CANARD”. Le jeu Duckside offre une variété de fonctionnalités, de l’artisanat à la construction de bases, du JcJ au JcE, et propose également la possibilité de voler, car vous incarnez un canard.
Vous pourrez manœuvrer dans les airs avec des commandes de vol de précision pour combattre ou explorer. De plus, il est possible d’améliorer vos armes et vos bases pour vous protéger contre les raids ennemis sur des serveurs pouvant accueillir jusqu’à 50 joueurs.
Les développeurs soulignent avec humour que Duckside ne se limite pas à la survie, mais permet aussi de vivre l’expérience de devenir un canard, de ressentir les sensations d’un canard face à des situations telles qu’avoir une mitrailleuse pointée sur ses plumes, mais aussi de trouver la tranquillité en s’installant dans une maison construite à partir des objets pillés sur les cadavres. Le jeu vise à offrir une expérience immersive où les joueurs peuvent se plonger pleinement dans le monde des canards, loin d’être des “poules mouillées”.